Je sentais ses douces lèvres contre ma peau, chaque parcelles étaient redécouvert par lui. Des frissons me montaient partout, je sentais son corps froid et dure contre le mien. Mais je n'arrivais pas à le voir, quand je voulu allumer la lumière qui était sur ma table de nuit, Klaus embrassa une parti de mon ventre où j'étais plus que chatouilleuse. Je frissonna fortement et poussa sans le vouloir la lampe au sol, je ris un peu et fit remonter Klaus en l'embrassant.

-Je croit que je vais commencer moi, sinon je risque de casser l'autre lampe.

Je souriais, le mis sur le dos et descendit doucement en dessous de la couette, elle le couvrait que jusqu'à son bassin. Je mordit ma lèvre et pris doucement son sexe dans ma bouche. Faisant des doux va et vient, pour bien le faire languir et pour lui montrer à quel point il m'avais manquer. Je sentais l'une de ses mains sur ma tête et des petit grondements de plaisirs, je savais les distinguer depuis peu. Ceux de plaisirs et ceux de colère. Je souriais doucement et allait de plus en plus vite. Je le savais, ma chambre allait y passer cette nuit et j'avais bien l'intention de lui donner du plaisir.

Je continuais bien pendant 10 minutes, mais j'avais atteint ma limite de vitesse, à ce moment là j'aurais aimer être une vampire pour lui faire encore plus de bien, mais il semblait que ma simple condition d'humaine lui suffisait. Après ces magnifiques et précieuses minutes, je me redressa doucement, reprenant mon souffle et souriant. Ca lui avait plut, je pouvais l'entendre reprendre également son souffle. Une voiture passa à côté de ma maison, elle nous éclaira doucement de ses phares pendant une demi seconde, je le vit, souriant.

-Est tu si heureux de me voir nue?

Je souriais à mon tour, cette question était bien stupide, pourquoi ne serait il pas heureux à près tout. Je souriais malicieusement maintenant, m'avança légèrement et colla son sexe au mien. Certains trouverait ça bizarre, mais nous aimions bien prendre le dessus tout les deux, ce qui donnais une soirée magnifique et en même temps une sorte de petit concours ou seuls nous pouvions participer. Je le fit entre doucement en moi en mordant ma lèvre, mais un gémissement m'échappa, ce qui l’excita encore plus. Car en moi d'une seconde j'étais coller entre le mur et lui. Je passa mas mains dans son dos en sentant son sexe dure en moi.

Je prolongeais doucement son baiser, me préparant à la meilleure nuit de folie de ma vie. Il posa ensuite ses lèvres sur mon cou, je pouvais entendre sa respiration s'accélérer et son souffle sur mon cou me faisait frémir. Il accélérait, je gémissait doucement en me cambrant légèrement. Je pinçais mes lèvres, afin de l'énerver un peu, car il n'entendait plus mes gémissement. Mes mains parcourraient son dos, le caressant doucement. Klaus était dure comme le marbre, pourtant, il était si facile de le faire fondre comme une guimauve. Il n'avait pas un coeur de pierre comme tout le monde le disait, c'était juste qu'il ce méfiait de tout le monde, tout le monde, sauf moi. Jamais je ne le trahirais et il le savait.

Au moment ou je voulu parler, il donna un énorme coup de rein, ce qui me fit me cambrer violemment et gémir assez fort pour que les voisins devinent ce que nous faisions. Cela avait dut l’exciter encore plus, car sa respiration s’accéléra encore, je me sentais encore plus contre le mur, il ferma ses poings qui tremblaient. Et là je compris, il n'avait pas chasser. Je souriais, attrapa un morceaux de la lampe briser et me coupa légèrement le cou. Lui faisant comprendre qu'il pouvait boire mon sang quand il souhaitait. Moi j'aimais ça, ça avais le don de m’exciter. Il continuait ses longs va et vient en moi.

-Va si Klaus.. Humm.....

Je me retrouva sur le lit doucement, ses mains serraient doucement les miennes, ses lèvres ce posèrent sur les miennes et sa langue dansait doucement avec la mienne. Ses va et vient étaient de plus en plus rapides, je pouvais sentir ses sexe de plus en plus profond en moi, mes gémissement aussi ce faisaient de plus en plus fort. Mes mains serraient beaucoup les siennes, je me cambra légèrement en gémissant assez fort le prénom de mon amour. Le sang coulait encore sur mon cou.

-Oh Klaus!! Ouiiii....

Je me mordais la lèvre inférieur et libéra une de mes mains pour allez la mettre dans le dos de Klaus. Je le griffais assez fort pour le faire saigner aussi, mais sa plaie ce referma rapidement, je respirais fort, j'entendait Klaus gronder. Mais je n'arrivais pas à savoir si c'était du plaisir ou de la colère. Finalement, je décida de ne pas faire attention et nous faire basculer. Je me mit sur lui et bougea rapidement en gémissant. Ses mains ce posèrent sur mes hanches.

Oh non! Klaus c'était souvenu à quel point j'était sensible à cet endroit là. Je tenais fortement les draps dans mes mains, me cambrant doucement. Mes gémissements ce faisaient de plus en plus fort et je sentais que j'allais bientôt jouir, même si je voulais me retenir le plus longtemps possible. Je voulais prouver à Klaus qu'une humaine pouvait tenir longtemps et , en même temps, gagner notre petit jeu. Il ce libérera en premier, je l'avais décidé. Afin de l'énerver un peu, je me leva rapidement et allais m'asseoir sur le petit banc près de ma fenêtre, jambes écartées pour lui donner une belle vu sur mon sexe.

Il gronda, mais de colère et d'impatience. Je compris de suite qu'il ne grognait pas contre moi, mais contre lui même. Peut être était il déjà à bout de force, ou bien trop excité pour continuer à me faire l'amour. C'était plus que compréhensible, nous n'avions plus fait l'amour depuis pas mal de temps, il était bien trop occupé avec la fille qu'il appelait le double. Mais je ne voulais pas pensé à ça maintenant, c'est pour cela que je me relevais, le fit basculer sur le dos et recommençais doucement ce que je faisais avant avec ma bouche. Je le suçais avec plus d'insistance et d'envie. J'aimais tant sentir son doux nectar dans ma bouche, mais ce que j'aimais le plus avec lui, c'est quand il me dominais, mais tout en douceur.

Comment pourrais je un jour me séparer de cet homme, je l'aimais tellement, tout. Le sexe, les balades, les je t'aime et surtout quand je dormais près de lui. Tout ces moments étaient magique et je me sentais toujours en sécurité. Je continuais mes mouvement en sentais mon homme ce crisper un peu, comme si il allait bientôt ce lâcher. Un sourire ce fit sur mes lèvres, j'allais gagner. Mais j'avais parler trop vite, car il me plaqua au lit en tenant fortement mes mains au dessus de ma tête. Comme si il avait vraiment envie de me faire hurler de plaisir. Je ne pouvais bien sûr plus bouger, complètement emprisonné par Klaus.

Je sentais ses doux va et vient en moi, mais je ne voulais pas de suite jouir, pourtant cela venait, je le sentais au plus profond de moi. Mon souffle ce faisais de plus en plus fort, lui aussi gémissait, c'était tellement bon. Les portes du plaisir s'ouvraient à nous, comme si nous avions atteints le septième ciel et comme ci nous ne pouvions pas avoir plus de plaisir. J'avais atteint mon maximum, je n'en pouvais plus, cela faisait tellement longtemps que nous faisions l'amour. Je jeta un petit coup d'oeil à mon réveil, il était déjà 4 heures du matin, Klaus me faisais l'amour depuis presque 6heures, elles étaient passées tellement rapidement que j'avais l'impression que nous n'avions que tenu une ou deux heures.

Finalement, en sentant un coup de rein profond en moi, je me cambra assez violemment et jouit assez fort pour que le voisin tape dans le mur, excéder par nos bruit incessant. Mais c'était fini, mon petit ami avait toucher mon point G, mes gémissements étaient devenues de cris de plaisir. Je lui griffais le dos, si profondément que je sentais son sang couler sur mes mains. J'étais épuiser, mon coeur battait très vite, maintenant il ne manquait plus que lui jouisse. Mais il avait gagner, encore.

Il ne tarda pas à craquer lui aussi, je senti son doux nectar en moi, tellement chaud que je ne peut m'empêcher de me mordre la lèvre. Klaus était épuiser, je le sentais et l'entendais, son souffle était saccader et fort. Il ne put pas rester longtemps au dessus de moi, il s'allongea donc a mes côtés en me prenant contre lui, je souriais, finalement nous avions tout les deux gagner vu que nous avions pris autant de plaisir l'un que l'autre. Je me blottis contre lui en posant ma tête sur son torse, ses bras tremblaient, comme si il n'avais jamais pris autant de plaisir auparavant. Mais une question me trottait dans la tête.

-Dit moi Klaus, les humaines peuvent tombées enceinte des vampires?

Si il me disais oui cela serait un tel bonheur, avoir un enfant avec l'homme.. Non avec le vampire.. Non plus, plutôt avec l'hybride que j'aimais me rendrais tellement heureuse. D'un coup, mon esprit divagua un peu, je n'étais plus contre Klaus, mais il était derrière moi et un enfant avait pris sa place, comme si c'était le notre. Il ressemblait tellement à l'homme derrière moi, les même magnifique yeux. Le petit dormait et Klaus aussi, mais moi je ne pouvais pas, je les admirais tout les deux. Je fut sorti de mes pensées par le réponse de mon amour.