Je sentais ses crocs dans ma chair et son sang qui coulais doucement dans ma gorge. Je me sentais bizarre, comme si j'étais droguée, mais je savais très bien que ce n'était pas du tout ça. Klaus était en train de mordre mon bras pour aspirer le poison de la balle, il prenait tant de risque pour moi, je n'aimais pas ça du tout, mais me voir morte l'aurait surement détruit. J'appuyais un peu plus ba bouche sur son bras, pour étouffer les gémissement de douleurs que j’émettais. J'avais si mal que j'aurais voulut mourir sur place afin de ne plus jamais ressentir cela, mais je ne pouvais me résigner à l’abandonné.

Ce n'est qu'après 5 minutes d'échange de sangs que je me sentais un peu mieux, moins dans les nuages, je comprenais mieux ce que m'ont disais. Mes membres réagissaient enfin. Je posa ma main sur la joue de klaus, il ne compris pas vraiment ce que je voulais faire, mais je ne lui laissa pas le temps de réfléchir. Mes lèvres ce posèrent fougueusement sur les siennes, le faisant s'allongé au sol. Je me mit ensuite sur lui, continuant de l'embrasser, je ne sais pas vraiment pourquoi, mais j'avais très envie de lui d'un coup. Comme si mes hormones me jouaient des tours.

Cet homme avait raison, je n'étais pas assez en forme pour cela, de plus, ce n'était que son sang qui me donnait envie, dans à peut près deux heures, je ne ressentirais que de la fatigue, alors pourquoi lui donner envie si c'était ensuite pour lui dire d'arrêter. Klaus nous coucha tout les deux sur le lit, ce mettant à ma place d'avant, pour me protéger, c'était sûr. Je lui souriais doucement, heureusement qu'il était avec moi en ce moment, sinon je serais surement morte à l'heure qu'il est. Je mis doucement ma tête sur son torse et sentis presque immédiatement sa main ce promener doucement dans mes cheveux, les écartant doucement de mon visage fatiguer.

Après quelques minutes de réfléxion. Je me rendis compte qu'a chaque fois qu'il était blesser ou qu'il s'inquiétait, c'était essentiellement de ma faute. Tout en faite était de ma faute. Je me sentais coupable de sa tristesse. J'avais comme l'impression qu'il ce forcait à changer pour moi et, à vrai dire, je n'aimais pas trop ça, car à force de changer, il ne sera plus le Klaus que j'aime tant. Finalement, peut être que c'est sa soeur qui avait raison, peu à peu je le détruisais, le forçant à ce comporter en humain alors que ce n'était pas du tout sa nature. Ai je bien fait de le suivre?

-Pardonne moi Klaus... Pour tout..