Je travaillais tranquillement, attendant patiemment que mon service ce finisse. A 19h je pourrais enfin voir klaus , maintenant que notre relation avait été dévoiler nous pouvions sortir, ce que j'attendais avec impatience.
J'étais percher sur mon échelle et rangeais des livres tout en haut de la commodes, c'était du Mozart et des pièces de théâtre diverses et varier.

C'est quand la porte s'ouvrit et laissa s'engouffrer une bourrasque de vent glacial dans l'édifice que la cloche ce mit à sonner./Je descendit de suite et alla à mon comptoir. Une femme blonde ce tenait dos à moi.

-Bonjour ma...

Elle ce retourna, c'était la soeur de klaus, je fronça les sourcils et la fixais.

-Que veut tu?

- Je suis pas venu parler bouquins, tu t'en doutes bien .

Je serrais le poing et fit un sourire forcer.

-C'est bien pour cela que je te demande ce que tu veut.

Je commença a tamponner mes livres et la regardais de temps en temps. Elle était venu me parler de klaus, c'était certain. Si elle me demandait de le quitter je l'enverrais voir ailleurs si j'y était.

-Alors??

Je regardais au alentour, voir si il n'y avait pas d'autres humains, juste au cas ou.

- Arrête de me parler comme ça toi . Et garde tes sourires si c'est pour qu'ils ressemblent à ça , je t edemande pas d'être sympathique .

J'effaça mon sourire, ce qui n'était pas pour me déplaire et je la fixais. Ses grands yeux me faisaient froid dans le dos, mais en même temps je voyait qu'elle aimais vraiment son frère et ne voulait que son bonheur.

- Je viens comme ça . Si déjà on va devoir se tolérer, autant discuter autre qu'en présence de mon frère.

Elle c'était assise sur le comptoir, son ton était moins froid et quand elle parlais de klaus, rebekah ne pouvait s'empêcher de sourire et cela me faisais le même effet.

-Tu à raison, cela lui ferait très plaisir si l'ont s'entendait bien. Tu sait quand tu est parti... J'avais l'impression qu'il allait pleurer, il t'aime vraiment beaucoup Rebekah et je pense que si un jour il devait te perdre, même moi je ne saurais comment le soutenir pour qu'il ne flanche pas.

Dire ses mots me faisais mal, mais c'était pourtant la vérité, klaus ne pouvait pas vivre sans sa soeur, comme il ne pouvait pas vivre sans moi, d'après lui du moins, mais moi je savais que j'allais mourir. Alors autant le rendre heureux avant que je ne devienne vieille.

-Dit moi... Du shopping ça te dirait? Pour faire mieux connaissance.

- Je sais. Je connais mon frère mieux que personne en ce monde .On s'aime d'une façon que personne ne changera jamais et que PERSONNE ne changera jamais . Jamais je pourrai tenir sans lui, et inversement . Je ne compte pas l'abandonner, on à jamais été séparé .

Je ri un peu à cette réflexion,je n'avais pas envie de gâcher leur relation et encore moins de les séparer. Néanmoins, j'avais un peu de peine quand je remarqua qu'elle me prenais vraiment pour une garce sans coeur. Rebekah tenait vraiment à son frère autant, même plus que moi peut être.

-Tu sais je ne cherche pas à vous séparer, je l'aime c'est tout. N'importer quel humai aurait peur de lui. Pourtant moi... Quand je suis à ses côtés je me sens en sécurité et je ne compte pas le perdre. Je ne sais même pas si je pourrais vivre sans lui.

Cela faisait maintenant plusieurs mois que nous étions ensemble, il était le seul vampire à pouvoir rentré chez moi. Il était le seul à partager mon lit et le seul que j'aimais voir le matin quand je me réveillais.

- Désolée mais j'en ai tout juste fais avec Nik .Un haut de plus et mon dressing va exploser

Elle ne voulait pas passer du temps ou même me connaitre, cela ce voyait sur son visage figée à jamais dans le temps. Mais j'essayerais encore, il fallait absolument que je m'entende avec elle si je voulais que klaus soit pleinement heureux. Mais au moment de rouvrir la bouche, une sensation étrange envahi tout mon corps, mon ventre me fit un peu mal. J'était comme ballonner. Je me mis à courir jusqu'au toilettes de la bibliothèque et vomi dans un toilette. Je ne savais pas ce qu'il m’arrivais... Peut être une chose que je n'avais pas digéré. Oui cela devait être ça. Je me redressa et lava ma bouche, quand je vit le reflet de rebekah dans la miroir. Je la regardais longuement.